Docteur en science politique et titulaire d'un Master de relation internationales de l'Université de Leeds, Bastien Nivet est aujourd'hui enseignant-chercheur et responsable du 1er cycle à l'EMLV. Ses travaux et enseignements portent sur les enjeux européens et internationaux, sur lesquels il a publié de nombreux travaux et enseigné, principalement à Science Po et en école de management.
Articles de journaux |
Nathalie Belhoste, Bastien Nivet The Organization of Short-Sightedness: The Implications of Remaining in Conflict Zones. The Case of Lafarge during Syria’s Civil War Article de journal Business&Society, 2020. @article{GéopoLafarge, title = {The Organization of Short-Sightedness: The Implications of Remaining in Conflict Zones. The Case of Lafarge during Syria’s Civil War}, author = {Nathalie Belhoste, Bastien Nivet}, editor = {Sage}, doi = {10.1177/0007650320934389}, year = {2020}, date = {2020-10-01}, journal = {Business&Society}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Benjamin Taupin et Bastien Nivet Performativité dans les organisations publiques : le cas de l’explicitation du Service européen pour l’action extérieure Article de journal Management International, Vol. 23 (3), p. 118-130, 2018. @article{PerformativitéUEMIb, title = {Performativité dans les organisations publiques : le cas de l’explicitation du Service européen pour l’action extérieure}, author = {Benjamin Taupin et Bastien Nivet}, year = {2018}, date = {2018-05-01}, journal = {Management International}, volume = {Vol. 23}, number = {3}, pages = {118-130}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet L’union européenne à l’heure du moment « réactionnaire » Article de journal Revue internationale et stratégique, 106 (2), p. 101-110, 2017. @article{nivet2017, title = {L’union européenne à l’heure du moment « réactionnaire » }, author = {Bastien Nivet}, year = {2017}, date = {2017-06-15}, journal = {Revue internationale et stratégique}, volume = {106}, number = {2}, pages = {101-110}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet Brexit : quelques pensées pour ceux qui restent Article de journal The conversation, on line, 2016. @article{nivet2, title = {Brexit : quelques pensées pour ceux qui restent }, author = {Bastien Nivet}, year = {2016}, date = {2016-06-24}, journal = {The conversation, on line}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet Penser la déseuropéanisation Article de journal La Revue internationale et stratégique, (102), p. 50-59, 2016. @article{nivet3, title = {Penser la déseuropéanisation }, author = {Bastien Nivet}, year = {2016}, date = {2016-05-12}, journal = {La Revue internationale et stratégique}, number = {102}, pages = {50-59}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet Quatre raisons d’espérer dans la polycrise de l'Europe Article de journal The conversation, on line, 2016. @article{Nivet1, title = {Quatre raisons d’espérer dans la polycrise de l'Europe}, author = {Bastien Nivet}, year = {2016}, date = {2016-05-11}, journal = {The conversation, on line}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet; Carole Gomez Sanctionner et punir: coercition, normalisation et exercice de la puissance dans une société internationale hétérogène Article de journal La Revue internationale et stratégique, (97), p. 61-68, 2015. @article{@article{Nivetbb, title = {Sanctionner et punir: coercition, normalisation et exercice de la puissance dans une société internationale hétérogène}, author = {Bastien Nivet and Carole Gomez}, editor = {Bastien Nivet and Carole Gomez}, year = {2015}, date = {2015-03-06}, journal = {La Revue internationale et stratégique}, number = {97}, pages = {61-68}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet Les sanctions internationales de l'Union européenne: soft power, hard power ou puissance symbolique? Article de journal La Revue internationale et stratégique, (97), p. 129-138, 2015. @article{@article{Nivetbb, title = {Les sanctions internationales de l'Union européenne: soft power, hard power ou puissance symbolique?}, author = {Bastien Nivet}, editor = {Bastien Nivet and Carole Gomez}, year = {2015}, date = {2015-03-06}, journal = {La Revue internationale et stratégique}, number = {97}, pages = {129-138}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet; Delphine Deschaux L'UNION EUROPÉENNE ET SES DÉPENSES MILITAIRES : MISE EN DANGER OU HYPER SOFT POWER ? Article de journal La Revue internationale et stratégique, (96), p. 77-85, 2014. @article{@article{Nivetbb, title = {L'UNION EUROPÉENNE ET SES DÉPENSES MILITAIRES : MISE EN DANGER OU HYPER SOFT POWER ?}, author = {Bastien Nivet and Delphine Deschaux}, year = {2014}, date = {2014-11-01}, journal = {La Revue internationale et stratégique}, number = {96}, pages = {77-85}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet Changer ou procrastiner : l’Union européenne face à elle-même en 2014 Article de journal Revue internationale et stratégique, 1 (93), p. 18-27, 2014, ISBN: 9782200928988. @article{Nivetb, title = {Changer ou procrastiner : l’Union européenne face à elle-même en 2014}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Armand Colin / Dunod}, url = {http://www.cairn.info/revue-internationale-et-strategique-2014-1-page-18.htm}, doi = {10.3917/ris.093.0018}, isbn = {9782200928988}, year = {2014}, date = {2014-04-01}, journal = {Revue internationale et stratégique}, volume = {1}, number = {93}, pages = {18-27}, abstract = {La conjonction entre les élections européennes, le renouvellement de la Commission européenne et d’autres postes européens, ainsi que la mise en œuvre de certaines dispositions prévues dans le traité de Lisbonne fait de 2014 une année européenne lourde d’enjeux. Le résultat des arbitrages entre une politisation et une redynamisation attendues des institutions européennes, et les tendances des États membres à la procrastination détermineront le bilan réel de cette année européenne.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } La conjonction entre les élections européennes, le renouvellement de la Commission européenne et d’autres postes européens, ainsi que la mise en œuvre de certaines dispositions prévues dans le traité de Lisbonne fait de 2014 une année européenne lourde d’enjeux. Le résultat des arbitrages entre une politisation et une redynamisation attendues des institutions européennes, et les tendances des États membres à la procrastination détermineront le bilan réel de cette année européenne. |
Bastien Nivet; Marie Gibert Dissonant Paths to Partnership and Convergence: EU-Africa Relations Between Experimentation and Resistance Article de journal African Security Review, 6 (3-4), p. 191-210, 2013. @article{Nivetbb, title = {Dissonant Paths to Partnership and Convergence: EU-Africa Relations Between Experimentation and Resistance}, author = { Bastien Nivet and Marie Gibert}, url = {http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/19392206.2013.853584}, doi = {10.1080/19392206.2013.853584}, year = {2013}, date = {2013-12-07}, journal = {African Security Review}, volume = {6}, number = {3-4}, pages = {191-210}, abstract = {In the official discourse, “convergence” between the European Union and its African partners takes place through partnership and common goals. The concrete actions undertaken (or not) by both sets of actors to turn this apparent convergence into reality are, however, far more complex and uneven than the official discourse suggests. They are on some occasions dissonant, both in the actual objectives pursued on the ground and in their implementation by the two sides of the partnership. In trying to explain this convergence/dissonance gap, this contribution underlines the highly experimental nature of the EU-Africa relations and accounts for some of the contradictions and inefficiencies so often pointed out in previous studies.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } In the official discourse, “convergence” between the European Union and its African partners takes place through partnership and common goals. The concrete actions undertaken (or not) by both sets of actors to turn this apparent convergence into reality are, however, far more complex and uneven than the official discourse suggests. They are on some occasions dissonant, both in the actual objectives pursued on the ground and in their implementation by the two sides of the partnership. In trying to explain this convergence/dissonance gap, this contribution underlines the highly experimental nature of the EU-Africa relations and accounts for some of the contradictions and inefficiencies so often pointed out in previous studies. |
Bastien Nivet La puissance ou l’influence, retour sur une confusion sémantique Article de journal La Lettre de l’IRSEM, 2013 (4), 2013. @article{Nivetbb, title = {La puissance ou l’influence, retour sur une confusion sémantique}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)}, url = {http://www.defense.gouv.fr/irsem/publications/lettre-de-l-irsem/les-lettres-de-l-irsem-2012-2013/2013-lettre-de-l-irsem/lettre-de-l-irsem-n-3-2013/dossier-strategique/puissance-influence-confusion-semantique-ou-renouvellement-de-l-action-internationale}, year = {2013}, date = {2013-04-29}, journal = {La Lettre de l’IRSEM}, volume = {2013}, number = {4}, abstract = {Effet de mode ou reflet d’une évolution réelle de la pratique des relations internationales, la notion d’influence, sous ses différentes déclinaisons (diplomatie d’influence, politique d’influence, outils d’influence, etc.) semble supplanter progressivement celle de puissance. Souvent employées à tort de façon interchangeable, les deux notions ne recouvrent pourtant pas les mêmes réalités stratégiques et diplomatiques.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } Effet de mode ou reflet d’une évolution réelle de la pratique des relations internationales, la notion d’influence, sous ses différentes déclinaisons (diplomatie d’influence, politique d’influence, outils d’influence, etc.) semble supplanter progressivement celle de puissance. Souvent employées à tort de façon interchangeable, les deux notions ne recouvrent pourtant pas les mêmes réalités stratégiques et diplomatiques. |
Bastien NIvet De l’institutionnalisation à l’opérationnalisation : le service européen d’action extérieure (SEAE) au défi de renouveler la diplomatie européenne Article de journal Annuaire français des relations internationales, 14 , p. 375-389, 2013. @article{Nivetbb, title = {De l’institutionnalisation à l’opérationnalisation : le service européen d’action extérieure (SEAE) au défi de renouveler la diplomatie européenne}, author = { Bastien NIvet}, url = {http://www.afri-ct.org/De-l-institutionnalisation-a-l}, year = {2013}, date = {2013-04-01}, journal = {Annuaire français des relations internationales}, volume = {14}, pages = {375-389}, abstract = {L’instauration d’un Service européen pour l’action extérieure (SEAE), prévue dans le Traité de Lisbonne entré en vigueur en 2009, avait suscité une intense littérature et des attentes élevées. Renforcement de la cohésion et de l’efficacité de l’Union européenne (UE) sur la scène internationale, renforcement de la cohérence entre les différents outils et institutions en charge de ses politiques extérieures, amélioration, enfin, de la présence et de la visibilité de l’UE sur la scène internationale étaient notamment attendues. Les négociations laborieuses qui ont accompagné l’institutionnalisation du SEAE, les débats et stratégies d’acteurs classiques qui ont caractérisé la mise en place et l’investissement de la nouvelle structure par les institutions européennes et les Etats membres attestent de la difficulté de renouveler par les institutions les conditions d’élaboration et de mise en œuvre de la politique étrangère européenne et son contenu. L’instauration du SEAE et ses différentes facettes sont néanmoins porteuses de pistes d’évolutions non seulement pour la politique étrangère toujours balbutiante de l’UE, mais aussi pour la nature même de la politique étrangère de l’UE et dans l’UE.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } L’instauration d’un Service européen pour l’action extérieure (SEAE), prévue dans le Traité de Lisbonne entré en vigueur en 2009, avait suscité une intense littérature et des attentes élevées. Renforcement de la cohésion et de l’efficacité de l’Union européenne (UE) sur la scène internationale, renforcement de la cohérence entre les différents outils et institutions en charge de ses politiques extérieures, amélioration, enfin, de la présence et de la visibilité de l’UE sur la scène internationale étaient notamment attendues. Les négociations laborieuses qui ont accompagné l’institutionnalisation du SEAE, les débats et stratégies d’acteurs classiques qui ont caractérisé la mise en place et l’investissement de la nouvelle structure par les institutions européennes et les Etats membres attestent de la difficulté de renouveler par les institutions les conditions d’élaboration et de mise en œuvre de la politique étrangère européenne et son contenu. L’instauration du SEAE et ses différentes facettes sont néanmoins porteuses de pistes d’évolutions non seulement pour la politique étrangère toujours balbutiante de l’UE, mais aussi pour la nature même de la politique étrangère de l’UE et dans l’UE. |
Bastien Nivet L’influence ou la puissance ? Un détour par l’expérience européenne Article de journal Revue internationale et stratégique, 1 (89), p. 83-92, 2013, ISBN: 9782200928742. @article{Nivetbb, title = {L’influence ou la puissance ? Un détour par l’expérience européenne}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Armand Colin / Dunod}, url = {http://www.cairn.info/revue-internationale-et-strategique-2013-1-p-83.htm}, doi = {10.3917/ris.089.0083}, isbn = {9782200928742}, year = {2013}, date = {2013-04-01}, journal = {Revue internationale et stratégique}, volume = {1}, number = {89}, pages = {83-92}, abstract = {La notion d’influence en relations internationales a pour fragilité une proximité indéniable avec celle, archi-dominante, de puissance. Pour autant, les deux notions ne relèvent pas des mêmes méthodes, outils et dynamiques, ni ne véhiculent la même symbolique en tant que fragment de discours politique ou objet de recherche académique. Là où la puissance définit des leviers d’intervention classiques...}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } La notion d’influence en relations internationales a pour fragilité une proximité indéniable avec celle, archi-dominante, de puissance. Pour autant, les deux notions ne relèvent pas des mêmes méthodes, outils et dynamiques, ni ne véhiculent la même symbolique en tant que fragment de discours politique ou objet de recherche académique. Là où la puissance définit des leviers d’intervention classiques... |
Bastien Nivet La France et l’UE en Afrique australe Article de journal La Lettre de l’IRSEM, 2013 (1), 2013. @article{Nivetbb, title = {La France et l’UE en Afrique australe}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)}, url = {http://www.defense.gouv.fr/irsem/publications/lettre-de-l-irsem/les-lettres-de-l-irsem-2012-2013/2013-lettre-de-l-irsem/lettre-de-l-irsem-n-1-2013/dossier-strategique/la-france-et-l-union-europeenne-en-afrique-australe-consensus-sur-la-securite-fragile-et-partenariat-difficile}, year = {2013}, date = {2013-02-13}, journal = {La Lettre de l’IRSEM}, volume = {2013}, number = {1}, abstract = {En Afrique australe, dans la région couverte par l’organisation de développement économique de l’Afrique australe (Southern African Development Comunity, SADC), la France et l’Union européenne (UE) peinent à développer des partenariats et coopérations à la hauteur de leurs espoirs. Des intérêts et défis de sécurité communs existent pourtant, mais se confrontent à la complexité et aux spécificités du contexte politique régional.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } En Afrique australe, dans la région couverte par l’organisation de développement économique de l’Afrique australe (Southern African Development Comunity, SADC), la France et l’Union européenne (UE) peinent à développer des partenariats et coopérations à la hauteur de leurs espoirs. Des intérêts et défis de sécurité communs existent pourtant, mais se confrontent à la complexité et aux spécificités du contexte politique régional. |
Bastien Nivet Les débats sur la défense européenne et l’OTAN à l’Assemblée nationale : entre faibles pouvoirs parlementaires et timide appropriation politique Article de journal 2013. @article{Nivetbb, title = {Les débats sur la défense européenne et l’OTAN à l’Assemblée nationale : entre faibles pouvoirs parlementaires et timide appropriation politique}, author = { Bastien Nivet}, year = {2013}, date = {2013-01-01}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet Crise ou déclassement ? Quand l’Europe inquiète à nouveau le monde Article de journal Revue internationale et stratégique, 3 (87), p. 18-28, 2012, ISBN: 9782200928032. @article{Nivetbb, title = {Crise ou déclassement ? Quand l’Europe inquiète à nouveau le monde}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Armand Colin / Dunod}, url = {http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RIS_087_0018}, doi = {10.3917/ris.087.0018}, isbn = {9782200928032}, year = {2012}, date = {2012-10-01}, journal = {Revue internationale et stratégique}, volume = {3}, number = {87}, pages = {18-28}, abstract = {Les difficultés rencontrées par l’Union européenne (UE) dans sa gestion de la crise ont fait émerger un nouveau « discours inquiet sur l’Europe » dans les relations internationales. Venant tant de pays « du Sud » que des États-Unis, ce discours vient troubler l’image d’une UE davantage destinée à venir en aide aux autres qu’un acteur suscitant leur inquiétude. Il est nécessaire de le décrypter et de l’analyser, afin de comprendre s’il s’agit d’un discours symbolique ou s’il révèle, plus largement un déclassement de l’UE sur la scène mondiale.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } Les difficultés rencontrées par l’Union européenne (UE) dans sa gestion de la crise ont fait émerger un nouveau « discours inquiet sur l’Europe » dans les relations internationales. Venant tant de pays « du Sud » que des États-Unis, ce discours vient troubler l’image d’une UE davantage destinée à venir en aide aux autres qu’un acteur suscitant leur inquiétude. Il est nécessaire de le décrypter et de l’analyser, afin de comprendre s’il s’agit d’un discours symbolique ou s’il révèle, plus largement un déclassement de l’UE sur la scène mondiale. |
Bastien Nivet Du Laboratoire au miroir : quand l’Afrique subsaharienne construit l’Europe stratégique Article de journal Revue Politique Africaine, 3 (127), p. 135-153, 2012. @article{Nivet, title = {Du Laboratoire au miroir : quand l’Afrique subsaharienne construit l’Europe stratégique}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Editions Karthala}, url = {http://www.cairn.info/revue-politique-africaine-2012-3-page-135.htm}, doi = {10.3917/polaf.127.0135}, year = {2012}, date = {2012-09-01}, journal = {Revue Politique Africaine}, volume = {3}, number = {127}, pages = {135-153}, abstract = {From laboratory to mirror: when Sub-Saharan Africa builds strategic EuropeSub-Saharan Africa has emerged over the last ten years as a field of experimentation and a space to legitimate new European policies in the field of foreign, security and defence policies. Building the other while building oneself is the challenging game of the European Union (EU) in Africa. Unexpected forms of African resistances to Europe’s ambitions, its agenda and hypothesis of action, have led to absurd results, revealing mistakes in conceptualization, processing and implementation of the EU’s international action. Africa becomes the mirror of the EU.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } From laboratory to mirror: when Sub-Saharan Africa builds strategic EuropeSub-Saharan Africa has emerged over the last ten years as a field of experimentation and a space to legitimate new European policies in the field of foreign, security and defence policies. Building the other while building oneself is the challenging game of the European Union (EU) in Africa. Unexpected forms of African resistances to Europe’s ambitions, its agenda and hypothesis of action, have led to absurd results, revealing mistakes in conceptualization, processing and implementation of the EU’s international action. Africa becomes the mirror of the EU. |
Bastien Nivet Si loin si proche : l’espace méditerranéen vu de l’Union européenne Article de journal Revue AGIR de la Société Française de Stratégie, (50), 2012. @article{Nivetbb, title = {Si loin si proche : l’espace méditerranéen vu de l’Union européenne}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://www.societestrategie.fr/pdf/agir49txt05.pdf}, year = {2012}, date = {2012-09-01}, journal = {Revue AGIR de la Société Française de Stratégie}, number = {50}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Bastien Nivet L’Europe de la sécurité et de la défense par-delà l’européanisation: un champ politique entre normalisation et renationalisations Article de journal Revue Champs de mars, (24), 2012, ISBN: 978-2-11-009202-1. @article{Nivetbb, title = {L’Europe de la sécurité et de la défense par-delà l’européanisation: un champ politique entre normalisation et renationalisations}, author = { Bastien Nivet}, editor = {La Documentation française}, url = {http://www.afsp.info/congres2011/sectionsthematiques/st46/st46nivet.pdf}, isbn = {978-2-11-009202-1}, year = {2012}, date = {2012-07-01}, journal = {Revue Champs de mars}, number = {24}, abstract = {La flexibilité et l’adaptabilité du concept d’Européanisation en ont fait un outil descriptif et analytique séduisant pour rendre compte des développements d’une Europe de la sécurité et de la défense depuis la fin des années 1990. Son apport théorique et analytique présente néanmoins des limites pour la compréhension des processus profonds à l’oeuvre dans le cadre de la Politique européenne commune de sécurité et de défense (PECSD) de l’Union européenne (UE). Cette contribution en propose une relecture critique autour de trois hypothèses en particulier. La première hypothèse est celle d’une double normalisation de la PECSD, tendant à faire de la PECSD à la fois une politique européenne comme les autres dans sa pratique, et à normaliser le contenu d’une politique dite de sécurité et de défense. Seconde hypothèse, celle de renationalisations multiformes de la PECSD, permettant par exemple d’étudier la multiplicité des circuits d’influence dans la prise de décision d’une telle politique européenne – notamment l’influence des États membres et d’autres acteurs sur « l’européanisation » de la défense –, mais aussi des processus de non- ou de dés-européanisation. Troisième hypothèse, celle d’une nécessaire rénovation critique du concept d’européanisation, destinée notamment à rendre compte de ce qui lui échappe, lui résiste ou s’en détourne.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } La flexibilité et l’adaptabilité du concept d’Européanisation en ont fait un outil descriptif et analytique séduisant pour rendre compte des développements d’une Europe de la sécurité et de la défense depuis la fin des années 1990. Son apport théorique et analytique présente néanmoins des limites pour la compréhension des processus profonds à l’oeuvre dans le cadre de la Politique européenne commune de sécurité et de défense (PECSD) de l’Union européenne (UE). Cette contribution en propose une relecture critique autour de trois hypothèses en particulier. La première hypothèse est celle d’une double normalisation de la PECSD, tendant à faire de la PECSD à la fois une politique européenne comme les autres dans sa pratique, et à normaliser le contenu d’une politique dite de sécurité et de défense. Seconde hypothèse, celle de renationalisations multiformes de la PECSD, permettant par exemple d’étudier la multiplicité des circuits d’influence dans la prise de décision d’une telle politique européenne – notamment l’influence des États membres et d’autres acteurs sur « l’européanisation » de la défense –, mais aussi des processus de non- ou de dés-européanisation. Troisième hypothèse, celle d’une nécessaire rénovation critique du concept d’européanisation, destinée notamment à rendre compte de ce qui lui échappe, lui résiste ou s’en détourne. |
Bastien Nivet Europe : une dépolitisation propice au populisme Article de journal Revue internationale et stratégique, 4 (84), p. 16-27, 2011, ISBN: 978-2200927301. @article{Nivetbb, title = {Europe : une dépolitisation propice au populisme}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RIS_084_0016}, doi = {10.3917/ris.084.0016}, isbn = {978-2200927301}, year = {2011}, date = {2011-12-01}, journal = {Revue internationale et stratégique}, volume = {4}, number = {84}, pages = {16-27}, abstract = {Souvent analysé de façon fractionnée, le développement dans plusieurs pays de l’Union européenne (UE) de mouvements politiques qualifiés de populistes commence à être abordé plus globalement comme le signal de malaises politiques, économiques et sociaux communs à plusieurs États européens. Dans ce contexte, les européanistes ayant questionné le lien entre ces dynamiques populistes et leur objet d’étude – l’UE –, se sont pour l’heure contentés d’une posture relativement descriptive et victimaire, constatant le développement simultané d’une même pathologie dans plusieurs États membres et une propension de ces mouvements à prendre pour cible, aux côtés des élites et des étrangers, l’UE. Il est aujourd’hui nécessaire de penser la façon dont l’espace européen, par certains de ses défauts et par des dérives dans la façon dont les gouvernements nationaux le pratiquent et le construisent, fournit malheureusement un terreau favorable à la diffusion de mouvements politiques populistes.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } Souvent analysé de façon fractionnée, le développement dans plusieurs pays de l’Union européenne (UE) de mouvements politiques qualifiés de populistes commence à être abordé plus globalement comme le signal de malaises politiques, économiques et sociaux communs à plusieurs États européens. Dans ce contexte, les européanistes ayant questionné le lien entre ces dynamiques populistes et leur objet d’étude – l’UE –, se sont pour l’heure contentés d’une posture relativement descriptive et victimaire, constatant le développement simultané d’une même pathologie dans plusieurs États membres et une propension de ces mouvements à prendre pour cible, aux côtés des élites et des étrangers, l’UE. Il est aujourd’hui nécessaire de penser la façon dont l’espace européen, par certains de ses défauts et par des dérives dans la façon dont les gouvernements nationaux le pratiquent et le construisent, fournit malheureusement un terreau favorable à la diffusion de mouvements politiques populistes. |
Bastien Nivet L’Union européenne et le printemps arabe: une puissance transformationnelle inadaptée? Article de journal Revue Défense Nationale, (744), p. 77-85, 2011. @article{Nivetbb, title = {L’Union européenne et le printemps arabe: une puissance transformationnelle inadaptée?}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://www.academia.edu/2201304/LUnion_europ%C3%A9enne_et_le_printemps_arabe_une_puissance_transformationnelle_inadapt%C3%A9e}, year = {2011}, date = {2011-11-01}, journal = {Revue Défense Nationale}, number = {744}, pages = {77-85}, abstract = {L’objet de cette contribution peut paraître prématuré : est-il possible de tirer des leçons ou enseignements des interventions et non interventions des Européens et de l’UE dans les différentes évolutions regroupées sous le vocable de révolutions arabes ou de printemps arabe ? Après tout, l’impact d’un acteur tiers sur un processus de changement interne à des États est toujours délicat à mesurer. Cette difficulté est encore accrue dès lors que le changement peut être considéré comme étant encore en cours, comme c’est le cas des formes et contenus des rénovations politiques, institutionnelles, économiques et sociales entamées en Tunisie, en Égypte, en Libye, et pourquoi pas dans l’avenir, en Syrie. Analyser comment des acteurs tiers, dont l’UE, réagissent, agissent — ou pas — et selon quelles méthodes, est pourtant porteur d’éclairages utiles sur la nature politique de ces acteurs. L’attitude de l’UE vis-à-vis des printemps arabes mérite à ce titre attention, au risque de produire une analyse quelque peu européano centrée, se concentrant sur les actions de l’UE plutôt que sur leur impact sur le terrain, et de reproduire ainsi un travers courant dans les analyses de l’action extérieure de l’Union. Elle révèle en effet un rapport au changement international ambivalent, associant ambition transformationnelle * revendiquée et inadaptation au changement international avéré de la diplomatie et des institutions européennes, paralysie initiale et précipitation désordonnée une fois le changement acté par certains États membres}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } L’objet de cette contribution peut paraître prématuré : est-il possible de tirer des leçons ou enseignements des interventions et non interventions des Européens et de l’UE dans les différentes évolutions regroupées sous le vocable de révolutions arabes ou de printemps arabe ? Après tout, l’impact d’un acteur tiers sur un processus de changement interne à des États est toujours délicat à mesurer. Cette difficulté est encore accrue dès lors que le changement peut être considéré comme étant encore en cours, comme c’est le cas des formes et contenus des rénovations politiques, institutionnelles, économiques et sociales entamées en Tunisie, en Égypte, en Libye, et pourquoi pas dans l’avenir, en Syrie. Analyser comment des acteurs tiers, dont l’UE, réagissent, agissent — ou pas — et selon quelles méthodes, est pourtant porteur d’éclairages utiles sur la nature politique de ces acteurs. L’attitude de l’UE vis-à-vis des printemps arabes mérite à ce titre attention, au risque de produire une analyse quelque peu européano centrée, se concentrant sur les actions de l’UE plutôt que sur leur impact sur le terrain, et de reproduire ainsi un travers courant dans les analyses de l’action extérieure de l’Union. Elle révèle en effet un rapport au changement international ambivalent, associant ambition transformationnelle * revendiquée et inadaptation au changement international avéré de la diplomatie et des institutions européennes, paralysie initiale et précipitation désordonnée une fois le changement acté par certains États membres |
Bastien Nivet L’Union européenne, docteur malade des relations internationales Article de journal La Croix, 2011. @article{Nivetbb, title = {L’Union européenne, docteur malade des relations internationales}, author = { Bastien Nivet}, editor = {IRIS}, url = {http://www.iris-france.org/44927-lunion-europenne-docteur-malade-des-relations-internationales/}, year = {2011}, date = {2011-10-12}, journal = {La Croix}, abstract = {Inquiets des conséquences systémiques possibles d'une implosion de la zone euro, des pays tiers se portent pour la première fois depuis des décennies au chevet de l'Europe. Si elle ne concerne pour l'heure que les enjeux monétaires, financiers et banquiers, cette préoccupation nouvelle à l'égard de la capacité des Européens à ne pas entraîner le reste du monde au bord du gouffre est lourde de symboles et de leçons pour une UE qui s'était construite depuis des décennies comme le bon docteur et non comme le malade du système international...}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } Inquiets des conséquences systémiques possibles d'une implosion de la zone euro, des pays tiers se portent pour la première fois depuis des décennies au chevet de l'Europe. Si elle ne concerne pour l'heure que les enjeux monétaires, financiers et banquiers, cette préoccupation nouvelle à l'égard de la capacité des Européens à ne pas entraîner le reste du monde au bord du gouffre est lourde de symboles et de leçons pour une UE qui s'était construite depuis des décennies comme le bon docteur et non comme le malade du système international... |
Bastien Nivet L’Union européenne manque de leadership, d’ambition et de contenu politiques Article de journal Le Monde, 2011. @article{Nivetbb, title = {L’Union européenne manque de leadership, d’ambition et de contenu politiques}, author = { Bastien Nivet}, editor = {IRIS}, url = {http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/08/18/l-union-europeenne-est-elle-en-voie-d-ashtonisation_1560839_3232.html}, year = {2011}, date = {2011-08-11}, journal = {Le Monde}, abstract = {Une nouvelle notion commence à s'imposer dans les débats sur l'action internationale de l'Union européenne (UE) : l'"ashtonisation" de l'UE. Inspiré du nom de la haute représentante de l'UE en charge de la politique étrangère, Catherine Ashton, cette notion décrit un savant mélange de manque d'anticipation, de réactivité et de cohérence diplomatiques, d'absence d'ambitions stratégiques et de leadership de la part de l'UE, et d'abandon d'une timide européanisation des enjeux de politique étrangère, de sécurité et de défense au profit d'une réappropriation de ces processus par quelques Etats membres. La personnalisation ironique sous-entendue par cette notion est un peu injuste : Lady Ashton n'est pas responsable de cet état de l'action internationale de l'UE. Elle n'est que le nom, l'incarnation, la figure emblématique d'un malaise plus profond. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/08/18/l-union-europeenne-est-elle-en-voie-d-ashtonisation_1560839_3232.html#q0z68JOGV9M3vKzW.99}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } Une nouvelle notion commence à s'imposer dans les débats sur l'action internationale de l'Union européenne (UE) : l'"ashtonisation" de l'UE. Inspiré du nom de la haute représentante de l'UE en charge de la politique étrangère, Catherine Ashton, cette notion décrit un savant mélange de manque d'anticipation, de réactivité et de cohérence diplomatiques, d'absence d'ambitions stratégiques et de leadership de la part de l'UE, et d'abandon d'une timide européanisation des enjeux de politique étrangère, de sécurité et de défense au profit d'une réappropriation de ces processus par quelques Etats membres. La personnalisation ironique sous-entendue par cette notion est un peu injuste : Lady Ashton n'est pas responsable de cet état de l'action internationale de l'UE. Elle n'est que le nom, l'incarnation, la figure emblématique d'un malaise plus profond. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/08/18/l-union-europeenne-est-elle-en-voie-d-ashtonisation_1560839_3232.html#q0z68JOGV9M3vKzW.99 |
Bastien Nivet Les Notes de l’IRIS, 2011. @article{Nivetbb, title = {Europeanizing European Foreign Policies by forging European Diplomats? The European External Action Service beyond the institutional question: human resources challenges to the Europeanization of foreign, security and defence policies in Europe}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://www.iris-france.org/docs/kfm_docs/docs/2011-07-12-eeas-bastien-nivet.pdf}, year = {2011}, date = {2011-07-01}, journal = {Les Notes de l’IRIS}, abstract = {A lot has already been written about the difficult institutional challenges facing the new European External Action Service (EEAS) of the European Union (EU): bringing together various institutional tools, attempting at resolving, at least partly, the obsolete division between the Community and intergovernmental dimensions of external relations of the EU, making EU external action more efficient, coherent and visible, etc. Most of this budding literature on the subject concentrates on the institutional and legal basis of the new service. This contribution aims at going beyond this institutional debate, and study the composition of the Service in terms of human resources. This might speak of the expectations of EU institutions and member states towards the EEAS, and the chances for this new institution to match these expectations. It draws upon a similar research previously achieved on the European security and defence policy’s institutions and networks1 and is based on the hypothesis that the Europeanization of European diplomacies and diplomatic cultures will depend at least partly on the Europeanization of European diplomats themselves. This paper therefore aims at studying how the composition of the new service in terms of human resources – people nominated by member states, recruitment policy, positions and strategies of the EU institutions and member states on the subject, etc. – may help understand the expectations and the potential impact of the EEAS on the Europeanization of European diplomatic cultures, instruments and actors. The ultimate ambition of this paper is to provide a contribution to the study of the role of individuals in the process of Europeanization of European foreign, security and defence policies.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } A lot has already been written about the difficult institutional challenges facing the new European External Action Service (EEAS) of the European Union (EU): bringing together various institutional tools, attempting at resolving, at least partly, the obsolete division between the Community and intergovernmental dimensions of external relations of the EU, making EU external action more efficient, coherent and visible, etc. Most of this budding literature on the subject concentrates on the institutional and legal basis of the new service. This contribution aims at going beyond this institutional debate, and study the composition of the Service in terms of human resources. This might speak of the expectations of EU institutions and member states towards the EEAS, and the chances for this new institution to match these expectations. It draws upon a similar research previously achieved on the European security and defence policy’s institutions and networks1 and is based on the hypothesis that the Europeanization of European diplomacies and diplomatic cultures will depend at least partly on the Europeanization of European diplomats themselves. This paper therefore aims at studying how the composition of the new service in terms of human resources – people nominated by member states, recruitment policy, positions and strategies of the EU institutions and member states on the subject, etc. – may help understand the expectations and the potential impact of the EEAS on the Europeanization of European diplomatic cultures, instruments and actors. The ultimate ambition of this paper is to provide a contribution to the study of the role of individuals in the process of Europeanization of European foreign, security and defence policies. |
Bastien Nivet Europe, mondialisation et gouvernance mondiale: l’Union européenne entre légitimation et dissolution Article de journal Futuribles, (369), 2010. @article{Nivetbb, title = {Europe, mondialisation et gouvernance mondiale: l’Union européenne entre légitimation et dissolution}, author = { Bastien Nivet}, url = {https://www.futuribles.com/fr/base/revue/369/europe-mondialisation-et-gouvernance-mondiale-luni/}, doi = {10.1051/futur/36919}, year = {2010}, date = {2010-11-01}, journal = {Futuribles}, number = {369}, abstract = {L’Union européenne (UE) est au centre de toutes les critiques depuis déjà plusieurs mois. Les espoirs, nés de la ratification du traité de Lisbonne le 1er décembre 2009, de voir l’UE s’imposer sur la scène internationale ont été déçus ; l’UE s’enlise, incapable de s’assumer et de se faire entendre. Un contexte qui mène Bastien Nivet à poser la question de la pertinence de l’Union comme niveau décisionnel et de sa contribution dans la gestion des affaires étrangères. Pour ce faire, il s’appuie ici sur deux notions, la mondialisation et la gouvernance mondiale, qui bien qu’elles soient « galvaudées » et largement « controversées », note l’auteur, restent très utiles pour saisir la conjoncture actuelle. En élargissant sa réflexion sur le système politique européen à l’action politique internationale, Bastien Nivet montre, en effet, en quoi l’UE aurait pu, et pourrait encore, devenir un acteur décisif au niveau mondial. « Dans un système international en quête de mise en cohérence entre ce qui peut se décider à l’échelle mondiale, ce qui peut se décider au niveau des continents et des États, et la prise en compte des réalités locales, l’UE bénéficie de solides expériences politiques et institutionnelles à faire valoir », souligne-t-il, avant de se pencher, au regard de ce constat, sur les raisons de son effacement. Est-il provisoire et accidentel, s’interroge-t-il, ou le symptôme d’un malaise plus profond ?}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } L’Union européenne (UE) est au centre de toutes les critiques depuis déjà plusieurs mois. Les espoirs, nés de la ratification du traité de Lisbonne le 1er décembre 2009, de voir l’UE s’imposer sur la scène internationale ont été déçus ; l’UE s’enlise, incapable de s’assumer et de se faire entendre. Un contexte qui mène Bastien Nivet à poser la question de la pertinence de l’Union comme niveau décisionnel et de sa contribution dans la gestion des affaires étrangères. Pour ce faire, il s’appuie ici sur deux notions, la mondialisation et la gouvernance mondiale, qui bien qu’elles soient « galvaudées » et largement « controversées », note l’auteur, restent très utiles pour saisir la conjoncture actuelle. En élargissant sa réflexion sur le système politique européen à l’action politique internationale, Bastien Nivet montre, en effet, en quoi l’UE aurait pu, et pourrait encore, devenir un acteur décisif au niveau mondial. « Dans un système international en quête de mise en cohérence entre ce qui peut se décider à l’échelle mondiale, ce qui peut se décider au niveau des continents et des États, et la prise en compte des réalités locales, l’UE bénéficie de solides expériences politiques et institutionnelles à faire valoir », souligne-t-il, avant de se pencher, au regard de ce constat, sur les raisons de son effacement. Est-il provisoire et accidentel, s’interroge-t-il, ou le symptôme d’un malaise plus profond ? |
Bastien Nivet Relations entre l’Union européenne et l’Afrique sub-saharienne dans le domaine de la sécurité Article de journal Défense nationale, (731), p. 66-77, 2010. @article{Nivetbb, title = {Relations entre l’Union européenne et l’Afrique sub-saharienne dans le domaine de la sécurité}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://www.academia.edu/2201297/Relations_entre_lUE_et_lAfrique_subsaharienne_dans_les_domaines_de_la_s%C3%A9curit%C3%A9_et_de_la_d%C3%A9fense}, year = {2010}, date = {2010-06-01}, journal = {Défense nationale}, number = {731}, pages = {66-77}, abstract = {Alors que sont célébrés cette année les cinquante ans des indépendances de dix-sept pays d’Afrique subsaharienne, la nature et le contenu des liens entre le continent africain et les pays européens, anciennes puissances coloniales ou non, demeurent en constante redéfinition. Aux relations historiques unissant (ou divisant) anciens colonisés et anciens colonisateurs, se sont ajoutées d’autres relations euro-africaines, notamment via la construction européenne. Le développement de l’Afrique était en effet l’un des objectifs fixés dans la déclaration Schuman du 9 mai 1950 . Les relations postcoloniales initialement resserrées autour des enjeux de développement dans les anciennes colonies de quelques États-membres,ont ainsi évolué au gré des élargissements et approfondissements des Communautés européennes pour couvrir aujourd’hui l’ensemble du continent et du spectre des politiques extérieures de l’UE, allant de la coopération à la gestion des crises, en passant par l’aide humanitaire ou les négociations commerciales. Cette évolution est le reflet tant de la superposition des défis — économiques, sécuritaires, politiques,sociaux, environnementaux, humains, etc. — auxquels est confrontée l’Afrique subsaharienne, que de la volonté de l’UE d’émerger comme un acteur « global » sur la scène internationale. L’irruption de l’Afrique subsaharienne dans le champ d’application de la Politique étrangère et de sécurité commune (Pesc) et de la Politique européenne de sécurité et de défense (PESD) de l’UE est la matérialisation la plus récente et marquante de cette nouvelle relation. Inattendue voire inespérée, l’émergence de politiques et de coopération euro-africaines en matière de sécurité et de défense ne se comprend qu’en tenant compte de la volonté des acteurs en présence d’être perçus comme des acteurs stratégiques pertinents. A ainsi émergé une relation complexe entre acteurs, mêlant interdépendance mutuelle et nouvelles formes de dépendance stratégique}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } Alors que sont célébrés cette année les cinquante ans des indépendances de dix-sept pays d’Afrique subsaharienne, la nature et le contenu des liens entre le continent africain et les pays européens, anciennes puissances coloniales ou non, demeurent en constante redéfinition. Aux relations historiques unissant (ou divisant) anciens colonisés et anciens colonisateurs, se sont ajoutées d’autres relations euro-africaines, notamment via la construction européenne. Le développement de l’Afrique était en effet l’un des objectifs fixés dans la déclaration Schuman du 9 mai 1950 . Les relations postcoloniales initialement resserrées autour des enjeux de développement dans les anciennes colonies de quelques États-membres,ont ainsi évolué au gré des élargissements et approfondissements des Communautés européennes pour couvrir aujourd’hui l’ensemble du continent et du spectre des politiques extérieures de l’UE, allant de la coopération à la gestion des crises, en passant par l’aide humanitaire ou les négociations commerciales. Cette évolution est le reflet tant de la superposition des défis — économiques, sécuritaires, politiques,sociaux, environnementaux, humains, etc. — auxquels est confrontée l’Afrique subsaharienne, que de la volonté de l’UE d’émerger comme un acteur « global » sur la scène internationale. L’irruption de l’Afrique subsaharienne dans le champ d’application de la Politique étrangère et de sécurité commune (Pesc) et de la Politique européenne de sécurité et de défense (PESD) de l’UE est la matérialisation la plus récente et marquante de cette nouvelle relation. Inattendue voire inespérée, l’émergence de politiques et de coopération euro-africaines en matière de sécurité et de défense ne se comprend qu’en tenant compte de la volonté des acteurs en présence d’être perçus comme des acteurs stratégiques pertinents. A ainsi émergé une relation complexe entre acteurs, mêlant interdépendance mutuelle et nouvelles formes de dépendance stratégique |
Benjamin Taupin, Bastien Nivet Performativité dans les organisations publiques : le cas de l’explicitation du Service européen pour l’action extérieure Article de journal Management International, Vol. 23 (3), p. 118-130, 0000. @article{PerformativitéUEMI, title = {Performativité dans les organisations publiques : le cas de l’explicitation du Service européen pour l’action extérieure}, author = {Benjamin Taupin, Bastien Nivet}, journal = {Management International}, volume = {Vol. 23}, number = {3}, pages = {118-130}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {article} } |
Livres |
Bastien Nivet L'Europe puissance, mythes et réalités. Une étude critique du concept d'Europe puissance Livre Presses Universitaires de Bordeaux, 2019, ISBN: 979-10-300-0278-2 . @book{UEPuissance, title = {L'Europe puissance, mythes et réalités. Une étude critique du concept d'Europe puissance}, author = {Bastien Nivet}, editor = {Presses Universitaires de Bordeaux}, isbn = {979-10-300-0278-2 }, year = {2019}, date = {2019-04-01}, publisher = {Presses Universitaires de Bordeaux}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {book} } |
Bastien Nivet; Sylvie Matelly L'Europe peut-elle faire face à la mondialisation? Livre La Documentation française, La Documentation française, Coll. “Réflexe Europe”, 202 p., 2015, ISBN: 978-2-11-008896-3. @book{@article{Nivetbb, title = {L'Europe peut-elle faire face à la mondialisation?}, author = {Bastien Nivet and Sylvie Matelly}, isbn = {978-2-11-008896-3}, year = {2015}, date = {2015-09-30}, publisher = {La Documentation française, Coll. “Réflexe Europe”, 202 p.}, edition = {La Documentation française}, series = {Réflexe Europe}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {book} } |
Bastien Nivet Francophone spaces and EU peace operations in Africa : exception or normality? Livre Routledge, 2013. @book{Nivetbb, title = {Francophone spaces and EU peace operations in Africa : exception or normality?}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Charbonneau, Bruno and Chafer, Tony}, year = {2013}, date = {2013-07-01}, volume = {Francophone spaces and peacekeeping}, edition = {Routledge}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {book} } |
Bastien Nivet Hatier, 2013, ISBN: 978-2-218-95236-4. @book{Nivetbb, title = {Le Royaume-Uni, l’Allemagne, la construction européenne, l’architecture européenne de sécurité et de défense, l’Italie}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Boniface, Pascal}, url = {http://www.editions-hatier.fr/livre/atlas-des-relations-internationales-ed-2013}, isbn = {978-2-218-95236-4}, year = {2013}, date = {2013-03-01}, volume = {Atlas des relations internationales}, edition = {Hatier}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {book} } |
Bastien Nivet Les débats sur la défense européenne et l’OTAN à l’Assemblée nationale : entre faibles pouvoirs parlementaires et timide appropriation politique Livre Bruylant, 2013. @book{Nivetbb, title = {Les débats sur la défense européenne et l’OTAN à l’Assemblée nationale : entre faibles pouvoirs parlementaires et timide appropriation politique}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Dumoulin, André and Descheaux-Beaume, Delphine}, year = {2013}, date = {2013-01-01}, edition = {Bruylant}, abstract = {Les débats parlementaires sur l’OTAN et l’UE en Europe}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {book} } Les débats parlementaires sur l’OTAN et l’UE en Europe |
Bastien Nivet Les Think tanks français et la PESD : relais d’opinion ou courroies de transmission ? Livre Bruylant, 2011. @book{Nivetbb, title = {Les Think tanks français et la PESD : relais d’opinion ou courroies de transmission ?}, author = { Bastien Nivet}, editor = {Dumoulin, André and Manigart, Philippe}, url = {http://www.academia.edu/2204158/Think_tanks_fran%C3%A7ais_et_PESD_relais_dopinion_ou_courroies_de_transmission}, year = {2011}, date = {2011-09-01}, edition = {Bruylant}, series = {Opinions publiques et politique européenne de sécurité et de défense commune : acteurs, acteurs, positions, évolutions}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {book} } |
Bastien Nivet 2010. @book{Nivetbb, title = {La sécurité comme condition du politique? Le développement des politiques de sécurité et de défense de l’Union européenne: attentes, conditions d’émergence et questions en suspend}, author = { Bastien Nivet}, editor = {L’Heuillet, Hélène and Zuppinger, Thibaud}, url = {http://www.implications-philosophiques.org/dossiers/securite/la-securite-comme-condition-du-politique/}, year = {2010}, date = {2010-05-25}, volume = {Sociétés contemporaines et sécurité}, series = {Implications philosophiques}, abstract = {La sécurité, entendue dans son acception internationale (concernant la scène mondiale et interétatique et non la sphère domestique et individuelle), a longtemps incarné la dépolitisation d’un projet européen pourtant éminemment politique dans ses ambitions et sa philosophie initiales. En développant, depuis le début des années 1990, une politique étrangère et de sécurité commune (PESC)[2] puis une politique européenne de sécurité et de défense (PESD)[3], les États membres de l’Union européenne (UE) démontrent-ils une prise de conscience partielle de ce paradoxe ? L’irruption de la sécurité et de la défense dans le champ des politiques européennes n’est en réalité pas autosuffisante comme « condition du politique » dans l’UE. Le caractère atypique des politiques dites de sécurité et de défense développées par l’UE en font des objets paradoxaux, échappant aux définitions classiques de la sécurité comme du politique...}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {book} } La sécurité, entendue dans son acception internationale (concernant la scène mondiale et interétatique et non la sphère domestique et individuelle), a longtemps incarné la dépolitisation d’un projet européen pourtant éminemment politique dans ses ambitions et sa philosophie initiales. En développant, depuis le début des années 1990, une politique étrangère et de sécurité commune (PESC)[2] puis une politique européenne de sécurité et de défense (PESD)[3], les États membres de l’Union européenne (UE) démontrent-ils une prise de conscience partielle de ce paradoxe ? L’irruption de la sécurité et de la défense dans le champ des politiques européennes n’est en réalité pas autosuffisante comme « condition du politique » dans l’UE. Le caractère atypique des politiques dites de sécurité et de défense développées par l’UE en font des objets paradoxaux, échappant aux définitions classiques de la sécurité comme du politique... |
Marcos Lima; Bastien Nivet Entreprendre, apprendre, s’adapter Livre 0000. @book{Nivetentreprendre2015, title = {Entreprendre, apprendre, s’adapter}, author = {Marcos Lima and Bastien Nivet}, editor = {Ouvrage collectif des enseignants-chercheurs de l’EMLV. Amazon Create Space. 216 p.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {book} } |
Conférences |
Bastien Nivet; B. Taupin Performativité dans les organisations publiques: le cas de l'explicitation du service européen d'action extérieure 5500 - 5599 Conférence XXIVème conférence de l'Association Internationale de Management Stratégique (AIMS), Paris, Dauphine, 3-5 juin, 2015. @conference{Nivetperformativite2015, title = {Performativité dans les organisations publiques: le cas de l'explicitation du service européen d'action extérieure}, author = {Bastien Nivet and B. Taupin}, year = {2015}, date = {2015-06-03}, booktitle = {XXIVème conférence de l'Association Internationale de Management Stratégique (AIMS), Paris, Dauphine, 3-5 juin}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {conference} } |
Bastien Nivet The third way? The External Action Service and the emergence of a distinctive mode of European Integration in the field of foreign, security and defence policy 5500 - 5599 Conférence Congrès de la European Union Studies Association Baltimore, USA, 2013. @conference{Nivetbb, title = {The third way? The External Action Service and the emergence of a distinctive mode of European Integration in the field of foreign, security and defence policy}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://euce.org/eusa/2013/papers/5c_nivet.pdf}, year = {2013}, date = {2013-05-09}, address = {Baltimore, USA}, organization = {Congrès de la European Union Studies Association}, abstract = {The creation of the European External Action Service (EEAS) following the implementation of the Lisbon Treaty has raised several debates. These concerned both the capacity of the new service to “deliver”, by bringing more coherence to the EU’s external relations, and the capacity of the new service to impose itself as a functional and respected institution within the pre-existing landscape of external relations in Brussels, the European capitals, and abroad. The latter was of course perceived as a condition of the former. In this respect, after almost three years of setting up and budding experience of the EEAS, it is of course still too early to assess in a categorical way the long term added value of the service, or its deep impact on the EU’s external relations. Studying the way it starts affecting the daily elaboration and implementation of foreign policy in Europe and of Europe’s foreign policy is, however, possible. New actors are being taken into account (in the EEAS itself, in the EU delegations abroad, etc.), old actors with new competences are seeing their integration and networking enhanced or modified (in the national administrations, in Brussels and in the EU delegations abroad), new patterns of networking among the actors in charge of the elaboration of the EU’s foreign policy are emerging, signs of change may also be noticed as far as information circulation and agenda setting are concerned. Building on these changes in foreign, security and defence policy making in the EU, this contribution aims at testing the hypothesis of an emerging specific mode of European integration in the field of foreign, security and defence policy, which the EEAS might be both fostering and incarnating. Following previous1 or ongoing research2, it mainly tries to capture the emerging daily practice of foreign, security and defence policy in the EU since the creation of the EEAS, and to show how this sometimes blurs the classic divide between “community” and “intergovernmental” policies.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {conference} } The creation of the European External Action Service (EEAS) following the implementation of the Lisbon Treaty has raised several debates. These concerned both the capacity of the new service to “deliver”, by bringing more coherence to the EU’s external relations, and the capacity of the new service to impose itself as a functional and respected institution within the pre-existing landscape of external relations in Brussels, the European capitals, and abroad. The latter was of course perceived as a condition of the former. In this respect, after almost three years of setting up and budding experience of the EEAS, it is of course still too early to assess in a categorical way the long term added value of the service, or its deep impact on the EU’s external relations. Studying the way it starts affecting the daily elaboration and implementation of foreign policy in Europe and of Europe’s foreign policy is, however, possible. New actors are being taken into account (in the EEAS itself, in the EU delegations abroad, etc.), old actors with new competences are seeing their integration and networking enhanced or modified (in the national administrations, in Brussels and in the EU delegations abroad), new patterns of networking among the actors in charge of the elaboration of the EU’s foreign policy are emerging, signs of change may also be noticed as far as information circulation and agenda setting are concerned. Building on these changes in foreign, security and defence policy making in the EU, this contribution aims at testing the hypothesis of an emerging specific mode of European integration in the field of foreign, security and defence policy, which the EEAS might be both fostering and incarnating. Following previous1 or ongoing research2, it mainly tries to capture the emerging daily practice of foreign, security and defence policy in the EU since the creation of the EEAS, and to show how this sometimes blurs the classic divide between “community” and “intergovernmental” policies. |
Bastien Nivet; Marie Gibert Dissonant paths to partnership and convergence : EU-Africa relations in the field of security and defence, between experimentations and résistances 5500 - 5599 Conférence African Security, 6 , Problematising Security Governance in Africa: A Case for Policy Convergence? Taylor & Francis Group, Witwatersrand University, South Africa, 2012, ISSN: 1939-2214. @conference{Nivetbb, title = {Dissonant paths to partnership and convergence : EU-Africa relations in the field of security and defence, between experimentations and résistances}, author = { Bastien Nivet and Marie Gibert}, url = {http://www.academia.edu/5382513/Dissonant_Paths_to_Partnership_and_Convergence_EU-Africa_Relations_Between_Experimentation_and_Resistance}, doi = {10.1080/19392206.2013.853584}, issn = {1939-2214}, year = {2012}, date = {2012-06-27}, booktitle = {African Security}, volume = {6}, pages = {191-210}, publisher = {Taylor & Francis Group}, address = {Witwatersrand University, South Africa}, organization = {Problematising Security Governance in Africa: A Case for Policy Convergence?}, abstract = {In the official discourse, “convergence” between the European Union andits African partners takes place through partnership and common goals. The concrete actions undertaken (or not) by both sets of actors to turn this apparent convergence into reality are, however, far more complex and uneven than the official discourse suggests. They are on some occasions dissonant, both in the actual objectives pursued on the ground and in their implementation by the two sides of the partnership. In trying to explain this convergence/dissonance gap, this contribution underlines the highly experimental nature of the EU-Africa relations and accounts for some of the contradictions and inefficiencies so often pointed out in previous studies.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {conference} } In the official discourse, “convergence” between the European Union andits African partners takes place through partnership and common goals. The concrete actions undertaken (or not) by both sets of actors to turn this apparent convergence into reality are, however, far more complex and uneven than the official discourse suggests. They are on some occasions dissonant, both in the actual objectives pursued on the ground and in their implementation by the two sides of the partnership. In trying to explain this convergence/dissonance gap, this contribution underlines the highly experimental nature of the EU-Africa relations and accounts for some of the contradictions and inefficiencies so often pointed out in previous studies. |
Bastien Nivet La difficile émergence de l’Union européenne comme acteur global de la sortie des conflits armés : inerties institutionnelles et task-sharing stratégique 5500 - 5599 Conférence 11ème Congrès de l’Association française de science politique (AFSP) Strasbourg, France, 2011. @conference{Nivetbb, title = {La difficile émergence de l’Union européenne comme acteur global de la sortie des conflits armés : inerties institutionnelles et task-sharing stratégique}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://www.academia.edu/4062082/La_difficile_%C3%A9mergence_de_l_Union_europ%C3%A9enne_comme_acteur_global_de_la_sortie_des_conflits_arm%C3%A9s_inerties_institutionnelles_et_task-sharing_strat%C3%A9gique}, year = {2011}, date = {2011-08-31}, address = {Strasbourg, France}, organization = {11ème Congrès de l’Association française de science politique (AFSP)}, abstract = {L’émergence de la PESD devait faire de l’UE un acteur international global, capabled’agir sur l’ensemble du spectre des outils, temps et registres d’intervention des conflits arméset de leur sortie. Les interventions menées depuis dans le cadre de la PESD ont pourtantdavantage entériné l’existence de l’UE comme acteur de prévention et de stabilisation à longterme des conflits que comme acteur de leur sortie immédiate. A partir de l’analyse de ce constat européen, cette communication entend contribuer àla compréhension plus large de la complexité de la sortie des confits armés comme objet pourles institutions internationales. Deux hypothèses sont en particulier envisagées. Celle d’une inertie institutionnelle et stratégique européenne, expliquant que l’UE nerenouvelle que lentement et laborieusement sa gamme de positionnement et de registresd’intervention, du fait de pressions internes ou externes. Le cas européen permet ici demontrer qu’une approche globale de la sortie des conflits armés exige un profondrenouvellement des approches, compétences et outils pour un acteur comme l’UE. Seconde hypothèse, celle d’un task-sharing entre institutions et acteursinternationaux impliquant que l’UE, malgré ses évolutions importantes, continue de faire ceque les autres ne font pas ou ce qu’elle fait mieux que les autres. La conjonction de ces deux ensembles d’hypothèses expliquerait que l’UE demeure unacteur potentiellement global mais dans les faits intermittent de la sortie des conflits armés.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {conference} } L’émergence de la PESD devait faire de l’UE un acteur international global, capabled’agir sur l’ensemble du spectre des outils, temps et registres d’intervention des conflits arméset de leur sortie. Les interventions menées depuis dans le cadre de la PESD ont pourtantdavantage entériné l’existence de l’UE comme acteur de prévention et de stabilisation à longterme des conflits que comme acteur de leur sortie immédiate. A partir de l’analyse de ce constat européen, cette communication entend contribuer àla compréhension plus large de la complexité de la sortie des confits armés comme objet pourles institutions internationales. Deux hypothèses sont en particulier envisagées. Celle d’une inertie institutionnelle et stratégique européenne, expliquant que l’UE nerenouvelle que lentement et laborieusement sa gamme de positionnement et de registresd’intervention, du fait de pressions internes ou externes. Le cas européen permet ici demontrer qu’une approche globale de la sortie des conflits armés exige un profondrenouvellement des approches, compétences et outils pour un acteur comme l’UE. Seconde hypothèse, celle d’un task-sharing entre institutions et acteursinternationaux impliquant que l’UE, malgré ses évolutions importantes, continue de faire ceque les autres ne font pas ou ce qu’elle fait mieux que les autres. La conjonction de ces deux ensembles d’hypothèses expliquerait que l’UE demeure unacteur potentiellement global mais dans les faits intermittent de la sortie des conflits armés. |
Bastien Nivet L’Europe de la défense par-delà l’européanisation : un champ politique entre normalisation et renationalisations 5500 - 5599 Conférence 11ème Congrès de l’Association française de science politique (AFSP) Strasbourg, France, 2011. @conference{Nivetbb, title = {L’Europe de la défense par-delà l’européanisation : un champ politique entre normalisation et renationalisations}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://www.afsp.info/congres2011/sectionsthematiques/st46/st46nivet.pdf}, year = {2011}, date = {2011-08-31}, address = {Strasbourg, France}, organization = {11ème Congrès de l’Association française de science politique (AFSP)}, abstract = {La flexibilité et l’adaptabilité du concept d’Européanisation en ont fait un outil descriptif et analytique séduisant pour rendre compte des développements d’une Europe de la sécurité et de la défense depuis la fin des années 1990. Son apport théorique et analytique présente néanmoins des limites pour la compréhension des processus profonds à l’oeuvre dans le cadre de la Politique européenne commune de sécurité et de défense (PECSD) de l’Union européenne (UE). Cette contribution en propose une relecture critique autour de trois hypothèses en particulier. La première hypothèse est celle d’une double normalisation de la PECSD, tendant à faire de la PECSD à la fois une politique européenne comme les autres dans sa pratique, et à normaliser le contenu d’une politique dite de sécurité et de défense. Seconde hypothèse, celle de renationalisations multiformes de la PECSD, permettant par exemple d’étudier la multiplicité des circuits d’influence dans la prise de décision d’une telle politique européenne – notamment l’influence des États membres et d’autres acteurs sur « l’européanisation » de la défense –, mais aussi des processus de non- ou de dés-européanisation. Troisième hypothèse, celle d’une nécessaire rénovation critique du concept d’européanisation, destinée notamment à rendre compte de ce qui lui échappe, lui résiste ou s’en détourne.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {conference} } La flexibilité et l’adaptabilité du concept d’Européanisation en ont fait un outil descriptif et analytique séduisant pour rendre compte des développements d’une Europe de la sécurité et de la défense depuis la fin des années 1990. Son apport théorique et analytique présente néanmoins des limites pour la compréhension des processus profonds à l’oeuvre dans le cadre de la Politique européenne commune de sécurité et de défense (PECSD) de l’Union européenne (UE). Cette contribution en propose une relecture critique autour de trois hypothèses en particulier. La première hypothèse est celle d’une double normalisation de la PECSD, tendant à faire de la PECSD à la fois une politique européenne comme les autres dans sa pratique, et à normaliser le contenu d’une politique dite de sécurité et de défense. Seconde hypothèse, celle de renationalisations multiformes de la PECSD, permettant par exemple d’étudier la multiplicité des circuits d’influence dans la prise de décision d’une telle politique européenne – notamment l’influence des États membres et d’autres acteurs sur « l’européanisation » de la défense –, mais aussi des processus de non- ou de dés-européanisation. Troisième hypothèse, celle d’une nécessaire rénovation critique du concept d’européanisation, destinée notamment à rendre compte de ce qui lui échappe, lui résiste ou s’en détourne. |
Bastien Nivet 12th Biennial congress of the EU studies association (EUSA) Boston, USA, 2011. @conference{Nivetbb, title = {Europeanizing European Foreign Policies by forging European Diplomats? The European External Action Service beyond the institutional question: human resources challenges to the Europeanization of foreign, security and defence policies in Europe}, author = { Bastien Nivet}, url = {http://www.euce.org/eusa/2011/papers/5l_nivet.pdf}, year = {2011}, date = {2011-03-03}, address = {Boston, USA}, organization = {12th Biennial congress of the EU studies association (EUSA)}, abstract = {A lot has already been written about the difficult institutional challenges facing the new European External Action Service (EEAS) of the European Union (EU): bringing together various institutional tools, attempting at resolving, at least partly, the obsolete division between the Community and intergovernmental dimensions of external relations of the EU, making EU external action more efficient, coherent and visible, etc. Most of this budding literature on the subject concentrates on the institutional and legal basis of the new service. This contribution aims at going beyond this institutional debate, and study the composition of the Service in terms of human resources. This might speak of the expectations of EU institutions and member states towards the EEAS, and the chances for this new institution to match these expectations. It draws upon a similar research previously achieved on the European security and defence policy’s institutions and networks1 and is based on the hypothesis that the Europeanization of European diplomacies and diplomatic cultures will depend at least partly on the Europeanization of European diplomats themselves. This paper therefore aims at studying how the composition of the new service in terms of human resources – people nominated by member states, recruitment policy, positions and strategies of the EU institutions and member states on the subject, etc. – may help understand the expectations and the potential impact of the EEAS on the Europeanization of European diplomatic cultures, instruments and actors. The ultimate ambition of this paper is to provide a contribution to the study of the role of individuals in the process of Europeanization of European foreign, security and defence policies.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {conference} } A lot has already been written about the difficult institutional challenges facing the new European External Action Service (EEAS) of the European Union (EU): bringing together various institutional tools, attempting at resolving, at least partly, the obsolete division between the Community and intergovernmental dimensions of external relations of the EU, making EU external action more efficient, coherent and visible, etc. Most of this budding literature on the subject concentrates on the institutional and legal basis of the new service. This contribution aims at going beyond this institutional debate, and study the composition of the Service in terms of human resources. This might speak of the expectations of EU institutions and member states towards the EEAS, and the chances for this new institution to match these expectations. It draws upon a similar research previously achieved on the European security and defence policy’s institutions and networks1 and is based on the hypothesis that the Europeanization of European diplomacies and diplomatic cultures will depend at least partly on the Europeanization of European diplomats themselves. This paper therefore aims at studying how the composition of the new service in terms of human resources – people nominated by member states, recruitment policy, positions and strategies of the EU institutions and member states on the subject, etc. – may help understand the expectations and the potential impact of the EEAS on the Europeanization of European diplomatic cultures, instruments and actors. The ultimate ambition of this paper is to provide a contribution to the study of the role of individuals in the process of Europeanization of European foreign, security and defence policies. |
bastien Nivet Par-delà la protection et l’adaptation, l’européanisation; signal de la redéfinition du politique dans la mondialisation » 5500 - 5599 Conférence Colloque Européanisation et Mondialisation organisé à la Maison des sciences de l’homme d’Aquitaine Université de Bordeaux (UMR5222), Bordeaux, France, 2010. @conference{Nivetbb, title = {Par-delà la protection et l’adaptation, l’européanisation; signal de la redéfinition du politique dans la mondialisation »}, author = { bastien Nivet}, url = {http://www.afsp.info/congres2011/sectionsthematiques/st46/st46nivet.pdf}, year = {2010}, date = {2010-12-02}, publisher = {Université de Bordeaux (UMR5222)}, address = {Bordeaux, France}, organization = {Colloque Européanisation et Mondialisation organisé à la Maison des sciences de l’homme d’Aquitaine}, abstract = {The flexibility and adaptability of the concept of Europeanization have made it a seducing descriptive and analytical tool to account for the developments of security and defence policies at the European level since the end of the 1990s. Its theoretical and analytical contributions nevertheless present limits for the comprehension of the major processes at work within the framework of the Common Security and Defence Policy of (CESDP) of the European Union (EU). This contribution therefore proposes its critical reassessment around three hypothesis in particular. The first hypothesis is that of a double normalisation of the CESDP, which may turn it both as a European policy like the others in its daily practice, and to normalise the content of a so called security and defence policy. Second hypothesis, that of multiform re-nationalizations of the CESDP, allowing for example to study the multiplicity of channels of influences in the decision making of such a European policy – and in particular the influence of the Member States and other actors on “the Europeanization” of defence –, but also processes of non- or de-europeanization. Third hypothesis, that of a necessary critical rethinking of the concept of Europeanization so as to provide a better account of what escapes from it or resist to it.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {conference} } The flexibility and adaptability of the concept of Europeanization have made it a seducing descriptive and analytical tool to account for the developments of security and defence policies at the European level since the end of the 1990s. Its theoretical and analytical contributions nevertheless present limits for the comprehension of the major processes at work within the framework of the Common Security and Defence Policy of (CESDP) of the European Union (EU). This contribution therefore proposes its critical reassessment around three hypothesis in particular. The first hypothesis is that of a double normalisation of the CESDP, which may turn it both as a European policy like the others in its daily practice, and to normalise the content of a so called security and defence policy. Second hypothesis, that of multiform re-nationalizations of the CESDP, allowing for example to study the multiplicity of channels of influences in the decision making of such a European policy – and in particular the influence of the Member States and other actors on “the Europeanization” of defence –, but also processes of non- or de-europeanization. Third hypothesis, that of a necessary critical rethinking of the concept of Europeanization so as to provide a better account of what escapes from it or resist to it. |
Book Chapters |
Deschaux Dutard, D.; Nivet, B. Le concept de puissance émergente : quel sens pour l'analyse des relations internationales ? Book Chapter la nouvelle donne Lavorel S. et Deschaux Dutard D. Puissances émergentes et sécurité internationale, Bruxelles Peter Lang (Ed.): p. 27-44, 2016. @inbook{Nivet2016, title = {Le concept de puissance émergente : quel sens pour l'analyse des relations internationales ? }, author = {Deschaux Dutard, D. and Nivet, B. }, editor = {in Lavorel S. et Deschaux Dutard D., Puissances émergentes et sécurité internationale, la nouvelle donne, Bruxelles, Peter Lang, }, year = {2016}, date = {2016-09-03}, pages = {27-44}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {inbook} } |
Bastien Nivet "France and EU peace operations in Africa: a francophone space exception?"; Book chapter in. Bruno Charbonneau and Tony Chafer (eds.), Peace Operations in the Francophone World. Global governance meets post-colonialism, London, Routledge, 2014, pp.106-119. Book Chapter Charbonneau, Bruno ; Chafer, Tony (Ed.): p. 106-119, Routledge, London, 2014. @inbook{@article{Nivetb, title = {"France and EU peace operations in Africa: a francophone space exception?"; Book chapter in. Bruno Charbonneau and Tony Chafer (eds.), Peace Operations in the Francophone World. Global governance meets post-colonialism, London, Routledge, 2014, pp.106-119.}, author = {Bastien Nivet}, editor = {Charbonneau, Bruno and Chafer, Tony}, year = {2014}, date = {2014-05-05}, pages = {106-119}, publisher = {Routledge}, address = {London}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {inbook} } |
En ligne |
Bastien Nivet De quoi l'Europe puissance est-elle le nom? En ligne Conversation, The (Ed.): 2020. @online{UEPuissanceConversation, title = {De quoi l'Europe puissance est-elle le nom?}, author = {Bastien Nivet}, editor = {The Conversation}, url = {https://theconversation.com/de-quoi-leurope-puissance-est-elle-le-nom-148704 }, year = {2020}, date = {2020-10-29}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {online} } |
Bastien Nivet Sous les ruines du 11 novembre 1918, des germes de projets européens En ligne Conversation, The (Ed.): 2018. @online{UE11novembre, title = {Sous les ruines du 11 novembre 1918, des germes de projets européens}, author = {Bastien Nivet}, editor = {The Conversation}, url = {https://theconversation.com/sous-les-ruines-du-11-novembre-1918-des-germes-de-projets-europeens-106135 }, year = {2018}, date = {2018-11-07}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {online} } |
Bastien Nivet « L’Afrique » et « l’Europe » existent, elles se sont rencontrées ! En ligne Conversation, The (Ed.): 2017. @online{Nivet2017c, title = {« L’Afrique » et « l’Europe » existent, elles se sont rencontrées !}, author = {Bastien Nivet}, editor = {The Conversation}, url = {https://theconversation.com/lafrique-et-leurope-existent-elles-se-sont-rencontrees-88174}, year = {2017}, date = {2017-11-28}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {online} } |
Bastien Nivet Les trois ressorts européens du Président Macron En ligne Conversation, The (Ed.): 2017. @online{Nivet2017d, title = {Les trois ressorts européens du Président Macron}, author = {Bastien Nivet}, editor = {The Conversation}, url = {https://theconversation.com/les-trois-ressorts-europeens-du-president-macron-85046 }, year = {2017}, date = {2017-10-08}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {online} } |
Michel DALMAS; Bastien NIVET L’union européenne, une organisation fiable ? En ligne The Conversation (France) 2016. @online{DALMAS2016, title = {L’union européenne, une organisation fiable ? }, author = {Michel DALMAS and Bastien NIVET}, url = {https://theconversation.com/lunion-europeenne-une-organisation-fiable-67029}, year = {2016}, date = {2016-06-13}, organization = {The Conversation (France)}, abstract = {Brexit, gestion des questions migratoires et des demandeurs d’asile et diversité d’appréciation des modalités de sortie de la crise économique se conjuguent pour renvoyer l’image d’une Union européenne (UE) au bord de l’implosion, et difficilement capable de résister aux diverses pressions auxquelles elle doit faire face. High-reliability organisations (HRO), forgé dans les études managériales pour décrire des entreprises capables d’anticiper et de gérer au mieux le haut niveau d’incertitude et d’imprévisibilité de l’environnement de leur activité, peut être utile pour penser l’UE d’aujourd’hui.}, keywords = {}, pubstate = {published}, tppubtype = {online} } Brexit, gestion des questions migratoires et des demandeurs d’asile et diversité d’appréciation des modalités de sortie de la crise économique se conjuguent pour renvoyer l’image d’une Union européenne (UE) au bord de l’implosion, et difficilement capable de résister aux diverses pressions auxquelles elle doit faire face. High-reliability organisations (HRO), forgé dans les études managériales pour décrire des entreprises capables d’anticiper et de gérer au mieux le haut niveau d’incertitude et d’imprévisibilité de l’environnement de leur activité, peut être utile pour penser l’UE d’aujourd’hui. |
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